Inauguration !

3 profs seulement? et pour combien d'élèves?
quand j'y pense, être prof, c'est quand même pas u nmétier facile.......

Je pense aussi. Moi qui ai longtemps voulu devenir prof...

Bah oui, 3 profs si je me souviens bien... Histoire-géo, français/latin et dessin... ça fait bien trois lol
Et on devait être une trentaine... un peu moins peut être...

Oui, moi aussi je voulais faire profs, et comme c'est la galère (enfin, tous les profs que j'ai eut ont pas trop bien supporté... peut être à cause de la classe...), j'ai changé...

Moi, c'est pas pour ça. Je me destinais à une carrière littéraire, c'était une idée comme ça qui est venue assez vite, et en cinquième (oui, je sais, j'ai très tôt su ce que je voulais faire), j'ai eu une prof de français qui a vraiment fait la (excusez moi du terme qui va suivre) pute avec moi, et elle m'a dégoûté à jamais du français, qui est quand même une matière un peu beaucoup importante dans la filière littéraire.

hum tu as raison. moi aussi je me dstinais p^lutot à la filière littéraire pour pouvoir faire plein d'allemand et étudier les langues vivantes à fond. mais mon prof de français de première( dc l'année du bac) m'a (momentanément ) dégouté . donc je me retourve en spé, tout en adorant les matières littéraires. suis un littéraire refoulé, nu espion dans la filière scientifique !!!

A mort, l'espion!
Booouuuuuuuh! Un littéraire! Looool
Mon parrain à l'école a fait une année d'hypokhâgne après son bac S, pour ensuite repartir en spé, alors c'est pas bien grave si tu aimes les matières littéraires.... D'ailleurs, moi aussi j'adore ça!

D'hip... hypoca... hypohk... hypokhâne... hypokhâgne !!! C'est à dire ?
En français pour une presque blonde, ça donne ? lol

Ca donne classe préparatoire littéraire, première année.

Ah oui, tout de suite, ça m'aide bien mieux là, ça me parle lol

C'est vrai, c'est un peu plus explicite.

puisque l'on est sur la littérature je voudrais l'avis du plus de gens possible et comme vous êtes tous les deux (Shensai et Joe) des littéraire refoulés lisez ça (bonne lecture^^): Smile

C’était dimanche mais Tony était encore assis devant sa production. Depuis deux semaines il se servait de la moindre minute disponible pour réfléchir à ce qu’il avait écrit, mettre en ordre ses idées ou écrire. C’était à la base une rédaction en français qui l’avait motivé. Le sujet assez banal lui avait permis de créer Noti Gortax d’abord second rôle dans sa vie, il venait pourtant de voler jusqu'à son temps libre. Tony avait perdu sa personnalité en écrivant « Noti Gortax le voleur de vie ». Mlle Gonté son enseignante avait qualifié la nouvelle d’une exceptionnelle qualité pour un enfant de quatorze ans et lui avait promis un brillant avenir littéraire. Mais Tony, au fond de lui, le savait, il ne pourrait jamais rien écrire d’autre que cette nouvelle. Elle s’était transformée au fils des jours, en roman tant les modifications était énormes depuis sa création.
Dans son livre Tony relatait les aventures du voleur et assassin Noti Gortax. Ce texte passionnant racontait sa formation aux arts du vol, du crime et ses premiers éclats en Egypte. Au cours de ses aventures Noti rencontrait un homme qui l’initiait à la magie noire. Le gentil Noti devenait alors un tueur assoiffé de sang assassinant de ses mains expertes. La description des crimes était d’une telle précision que quiconque aurait cru que l’auteur avait nécessairement tué pour pouvoir raconter de si sordides détails. Pourtant ce n’était que des chimères qui s’étaient insinuées dans son esprit. Dés que sa main ne parcourait plus le papier de nouvelles horreurs l’assaillaient. Toujours plus terrifiants ces flashs ne l’abandonnaient que lorsque les mots étaient transcrits.
L’écriture lui avait fait oublier la faim et le sommeil. Le jovial Tony n’était plus que l’ombre de lui-même. Ses joues plutôt rondes s’étaient Creusées, son regard pétillant de vitalité s’était éteint. Il avait une mission : écrire la vie, les morts de Noti et il n’aurait de cesse que lorsque que tout serait écrit. Le manuscrit devait déjà compter quatre cents pages mais comme Tony avait la fâcheuse manie d’écrire vraiment tout petit le texte imprimer dans un format basique aurait pu compter le double, le triple.
Plus le texte prenait de l’ampleur plus le désir de Tony d’arrêter d’écrire était puissant. Lorsque celui-ci faisait surface Tony avait des visions agréable de Noti au milieu de toutes ces atrocités. Comme s’il avait une conscience Noti semblait juste vouloir que ses meurtres soient écrits et diffusés pour trouver une sorte d’expiation.
Tony était méthodique, à chaque feuille écrite de la petite écriture serrée de Tony était rangée, coté verso, avec un grand soin dans le tiroir du haut de son bureau. Cette pause le faisait souffrir à chaque fois d’horribles tortures mentales.
En tout il devait avoir retracé trois ans de crimes et de perversions. Trois ans en deux semaines cela faisait beaucoup d’écriture. La main de Tony ne se décrispait plus de son stylo, il avait les doigts gonflés, cyanosés et elle lui provoquait une douleur vive.
Les parents de Tony étaient partis en séminaire pour dix jours et ils étaient tous écoulés. Lorsqu’ils le virent assis en silence en train d’écrire, complètement absorbé, ils le laissèrent tranquille sans remarquer son visage fermé et sa main bleuie. Le soir a l’heure du dîner, ils eurent beau l’appeler, Tony ne venait pas. A bout de patience son père se leva pour aller le chercher. En pénétrant dans la chambre il vit Tony toujours a l’œuvre, complètement déconnecté.
Le lendemain un médecin vint à la demande des parents et fit son diagnostique : Tony avait basculé dans la schizophrénie. La nouvelle accabla les parents qui demeureraient impuissant. Les jours passait et une certaine routine s’installait : Tony écrivait indifférent au monde et ses parents pleuraient.
Le dernier meurtre de Noti était celui d’un enfant qu’il torturait des jours en lui envoyant des visions qui le poussèrent au suicide. Tout ce qui avait été écrit fut publié en mémoire de cet enfant de génie qui s’était éteint trop tôt, en ayant planifié, mis en scène, écrit sa disparition.

Et puis il y a celui ci que je trouve moin bien (re-bonne lecture):

Nous sommes en voiture, il est 19 heures, et ça y est la nuit arrive, mais ce soir ce n’est pas comme d’habitude : le soleil est différent.
Un couché de soleil estival, chacun de vous en a un dans ses souvenir. Ce soleil énorme, rouge embrase l’horizon, incendiant en une seconde toute la campagne environnante, nimbant tout d’une couleur cuivrée, métallique et ces long nuages qui froment des arabesques sinueux ocres et or.
Voila ma vision d’un couché de soleil d’été.
Par contre, en hivers la différence est très nette : l’astre du jour plus petit, plus blanc qui n’est pas encore point fait une maigre apparition avant de replonger derrière des gros nuages gris, chargés d’eau. Là, la nuit s’abat d’un coup.
Mais ce soir…ce soir, les nuages lourds de cette journée, passée ont donné cette sensation d’obscurité. Pas de vent, pas une ombre, rien que les nuages qui couvrent l’ensemble du ciel comme une chape de plomb, nous protégeant des rayons du soleil. Etrangement, les heures ne filent plus, elle se sont arrêtées dans leur course immuable, laissant le néant, prendre leur place.
Pourtant il y a dix minutes, le jour a fait une percée dans ce vide, la lumière a inondé le monde un bref instant, et est redevenue commune. L’espace d’un moment, la Vie a retenue son souffle puis a repris son quotidien ! A cet instant, j’ai eut un drôle de pressentiment : ce couché douché de soleil était-il le dernier ? Fallait-il en profiter?
Alors, comme un évidence, le soleil a disparut de nouveau, laissant derrière lui une trouée béante dans la voûte nuageuse.
La voiture roule toujours, nous traversons une bourgade. Mes parents et moi-même revenons de l’anniversaire d’un de mes cousins. Nous raccompagnons ma grand-mère chez elle, ce qui nous fait faire un petit détour, insignifiant mais qui nous allonge le voyage d’une quinzaine de minutes.
Je suis plongé dans mes réflexions : a quelle heure arriverons-nous à la maison ? Mais dans un même temps mon pressentiment ne me quitte pas, il m’opprime, me noue l’estomac, me bloque la respiration… Je reprends mon souffle et tourne ma tête vers l’ouest. Là je vois ou plutôt je ne vois rien, sauf les nuages qui comblent le moindre interstice où le soleil aurait pu filtrer.
Je murmure : « la nuit est tombée. C’est la dernière fois que l’on voit le soleil. »
La nuit est surnaturelle, la lumière des villes et des villages se reflète dans les nuages qui réverbèrent celle-ci vers la terre. Pas de ciel étoilé, pas un seul rayon de lune, rien qu’un plafond nuageux sombre et ténébreux.
Demain je me lèverais il sera six heures vingt je partirais une demi heure plus tard, je prendrais le bus direction le lycées, l’assisterais a mon premier cours et le soleil ne se sera pas levé. Il ne se montrera pas de la journée, ni de la semaine à cause des nuages.
Une grosse dépression touche actuellement toute l’Europe comme diront les météorologues…

Pas mal. Quelques petites fautes de français, cependant.

Je suis ouvert a toute propositions.^^

Pfff... je l'ai connait presque par coeur, t'abuses... quand est-ce que t'en fais des nouvelles ? lol

Quand je serais inspiré :s...

Bah écoute... respire dans ce cas...

Il ne respire plus! On le perd! Viiiiite!! Est-ce que quelqu'un sait faire du bouche à bouche?

Euh... non... pas moi... enfin, pas aux dernières news...
Mais il va respirer... il tient trop à la vie pour mourt comme ça... surtout que il m'a pris un jeu ps2 xD

Il y a quelqu'un d'autre? Viiite, on le perd!

Mais je te dis que non, il va très bien.
Sinon, il l'aurait dit...

On le peeeerd!!! Viiiiiite!

Bon, tu t'obstines là...
Je suis sûre que non...
Parce que ce serait sacrément dommage tout de même...

Qu'est-ce qui serait dommage?

Bah, de le perdre quelle question !!!

Ah ouais, c'est vrai. Je sais pas moi, je le connais pas!